”Nous avons mis en place des radars préventifs (…). Mais lors des dernières mesures, il est apparu que la vitesse n’était pas suffisamment respectée. Nous débutons une phase répressive”, déclare Jean-Marie Gillet, échevin en charge de la mobilité, au journal L’Avenir (9 décembre).
Et pour cause. Lors des derniers contrôles, un automobiliste a été flashé à 81 km/h en zone 30 au centre de Walhain. Et sur la N4, en un après-midi, 116 véhicules sur 970 étaient pris en infraction dont un à plus de 160 km/h en zone 70, à l’approche des feux… Incroyable!!!
La zone de police a acquis un tout nouveau radar mobile qui flashe dans les deux sens et qui demande moins de personnel, ce qui permettra d’augmenter le nombre de contrôles. Et, ajoute Jean-Marie, ce n’est pas tout. ”La Commune souhaite depuis longtemps acquérir des boitiers dans lesquels on installerait un radar fixe. Dès le feu vert de la Région wallonne, ce type de radar pourrait se multiplier dans les communes.”
Sans pour autant abandonner les radars préventifs et la communication car sensibilisation ET répression vont de pair pour plus d’efficacité.
Qu’on se le dise…
Je lis avec plaisir et partage l’information! Victime de la N4 et de la vitesse de certaine automobiliste, je ne puis que me réjouir de ce nouveau développement. Prochaine étape: faire réduire la vitesse autorisée de 90km/h (!) à70 après le grand rond-point des N4 et 25? Cycliste sur les pistes cyclables de nos belles communes, je n’ose même plus remonter sur cette N4 et pédaler à côté de véhicules autorisés à circuler à 90km/h. 🙂 Catherine
Merci pour votre commentaire que je partage tout à fait. La portion de N4 au départ du rond-point N4/N25 vers Corbais est à 90km/h. C’est hyper dangereux. Les cyclistes du Gracq interpellent régulièrement le SPW mobilité (direction d’Ottignies) depuis 2012 à ce propos. La réponse est invariable: « il n’y a pas d’habitation à cet endroit et une réduction des vitesses ne se justifie donc pas ». Mais les Gracquistes sont persévérants. Ils continuent leurs interpellations à chaque occasion. Il se pourrait que cela bouge… On attend un arrêté, parait-il! (Danielle, du Gracq)