– « (…) je considère que, en termes de projet de société, c’est le seul parti qui ne partage pas la foi aveugle dans la croissance et la compétitivité pour gouverner le monde et notre petit pays.
(…) les écolos sont les seuls à avoir remis vertement en cause la politique de Maggy De Block et du gouvernement fédéral dans son ensemble. En matière d’emploi, ils sont seuls à parler réduction et partage du temps de travail.
Sur la question cruciale du climat, ce sont les écologistes qui ont toujours été à la pointe du combat et ont obtenu que ces questions décisives soient en (pas assez) bonne place à l’agenda politique et médiatique. Idem pour la promotion de la souveraineté alimentaire, pour la petite agriculture paysanne et familiale, pour les circuits courts, … » Jacques Liesenborghs
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– « Si le 25 mai, nous voterons Ecolo, c’est avant tout par adhésion au courant de l’écologie politique, que ce parti incarne le mieux.
Dans ce paysage maussade, Ecolo se distingue par l’idéologie radicale dont il est le vecteur et qu’il a récemment réaffirmée en adoptant un manifeste, ainsi que par une action orientée vers le durable et le long terme.
La gauche est plurielle. Ecolo incarne une gauche de rupture au capitalisme, au consumérisme et au productivisme, mais qui ne se limite pas à la dénonciation et propose des moyens pour en sortir. » Joanne CLOTUCHE , Mathias EL BERHOUMI , Edgar SZOC.
Lire le texte entier dans la Revue Politique de mai-juin…