Quelques mots pour te présenter?
Cela fait plus de 35 ans que j’arpente les rues et les chemins de nos villages. J’habite dans le Paradis de Nil-Saint-Martin où nos 3 enfants ont grandi avec bonheur.
Au cours de ces dernières années, je me suis pas mal investie dans la vie de la locale Ecolo notamment comme responsable du site internet et de la Lettre d’infos. Je suis une accro de l’info. J’estime qu’elle est la base de toute vie démocratique, et donc politique.

Je me suis aussi impliquée dans la commune notamment comme effective active à la Commission consultative d’aménagement du territoire et de la mobilité (CCATM) et en tant que membre du CA de l’Agence locale pour l’emploi (ALE). Egalement sur quelques dossiers chauds: sablières, éoliennes, mobilité, aînés…

Historienne de formation, je suis particulièrement attentive à la préservation de notre (petit) patrimoine.

Ce qui te motive à être candidate?
La volonté de soutenir nos échevins qui ont fait un travail remarquable et remarqué pendant ces 6 années. Ils ont largement contribué à redessiner concrètement un modèle différent pour notre commune, plus dynamique et plus porteur pour l’avenir. Je veux aider à consolider ces acquis et à poursuivre les chantiers ouverts. D’autres défis sont à relever auxquels je suis particulièrement sensible: l’avenir des aînés, l’accueil des tout-petits, le logement, les questions énergétiques, une agriculture innovante…

Pourquoi aimes-tu ta commune ?
Je suis née et j’ai grandi à Charleroi. Pas besoin de vous dire que Walhain est pour moi un petit paradis. J’aime m’y promener à pied ou à vélo, tailler une bavette avec les un-es et les autres. C’est un lieu de vie. Mon lieu de vie… (même si je continue à bien aimer Charleroi!)

Une citation, un proverbe que tu souhaites partager?
Lu sur une affiche dans les bus du TEC, fin mai 2012: « Qui aime mettre les pieds où on met les fesses n’a qu’à s’asseoir par terre. »… ou l’art d’apprendre le bien-vivre ensemble.

Un événement, un lieu qui t’a marquée?
Un séjour en Afrique, du côté de Bukavu et Goma, m’a permis de vivre une expérience étonnante, difficile à décrire et qui m’a laissé des images fortes. Je vois encore ces femmes descendant le long des routes rouges menant à Bukavu, courbées sous le poids imposant de ce qu’elles allaient vendre au marché.

Etre née quelque part, c’est toujours un hasard…

De bonnes raisons de voter pour toi?
Je suis habitée par une volonté farouche de contribuer à construire un monde plus humain, moins « épuisé », dans le cadre d’une écologie joyeuse.

Autre chose…  Un rêve…
Je suis une cycliste convaincue et je me réjouis du développement de la petite reine chez nous, entrée royale dans l’ère d’une autre mobilité.